Top 5 des femmes les plus maléfiques

Tout au long de l’Histoire, nous avons eu des exemples de femmes terrifiantes. Découvrez-les !

Par Aylan-afir Publié le 06/01/2023 à 20:07
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Nous avons tous tendance à nous concentrer sur les hommes "méchants" et à oublier certaines femmes qui ont marqué l'Histoire. À l'instar des hommes, il y a eu femmes extrêmement méprisables qui ont causé la perte de tant de vies. Voici donc le top 5 des femmes les plus maléfiques que vous ne connaissiez pas.

1. La reine Mary I

Mary était le seul enfant survivant d'Henri VIII et de Catherine d'Aragon. Elle a été couronnée après la mort d'Edouard VI et l'éviction de Lady Jane Grey, reine des neuf jours. Mary est connue pour avoir ramené l'Angleterre vers le catholicisme, temporairement et violemment.

De nombreux protestants éminents sont morts pour leurs croyances, ce qui a valu à la reine le surnom de "Bloody Mary". Craignant la potence, 800 autres protestants quittent le pays, et ne pourront revenir qu'après sa mort.

2. Beverly Allitt

Beverly Allitt était infirmière pédiatrique. Elle est responsable du meurtre de quatre enfants et des blessures graves de cinq autres dont elle avait la garde. Elle utilisait des injections d'insuline ou de potassium pour leur provoquer un arrêt cardiaque, ou alors, elle se contentait de les asphyxier.

Allit a agressé 13 enfants en 58 jours avant d'être arrêtée. Elle ne s'est jamais expliquée au sujet de ses motivations pour le crime. Néanmoins, elle était atteinte de Münchhausen par procuration, un syndrome qui pousse à maltraiter ou à blesser ceux dont on s'occupe pour attirer l'attention.

3. Ilse Koch

La « Sorcière de Buchenwald » était l'épouse de Karl Koch, commandant de Buchenwald de 1937 à 1941 et de Majdanek de 1941 à 1943. Profitant du pouvoir absolu que lui avait conféré son mari, elle se délectait de la torture et de l'obscénité que subissaient les Juifs retenus prisonniers dans les camps de concentration.

Koch est connue pour les tatouages ​​prélevés sur les prisonniers vivants : ces bouts de chair étaient gardés comme trophées-souvenirs. Après la chute du 3ᵉ Reich, elle est condamnée à la prison à vie. Le 1er septembre 1967, elle se pend dans la prison pour femmes d'Aichach.

4. Katherine Knight

Katherine Knight est la première femme australienne à connaître la prison à vie sans possibilité de libération conditionnelle. Elle a écrasé le dentier d'un ex-mari et a tranché la gorge du chiot d'un autre mari sous ses yeux.

Après quoi, elle a été en couple avec John Charles Thomas Price. Kathrine Knight finira par poignarder à mort son nouveau compagnon avec un couteau de boucher. Le crime est absolument abominable, car elle l'écorche avant d'accrocher son "costume" à l'encadrement de la porte du salon. Pour finir, elle lui coupe la tête et la mit dans une marmite, et elle lui fit bouillir les fesses.

5. Elizabeth Báthory

D'après les témoignages recueillis auprès des familles des victimes et des témoins, des centaines de personnes ont été torturées, blessées, affamées, piquées, mordues et brûlées sous les ordres d'Elizabeth Báthory. Les rapports recueillis font état de décès dus à la famine. Une victime était morte depuis des années avant que des témoins ne la découvrent.

En 20 ans, des centaines de personnes ont été maltraitées et assassinées. Certains ont été battus pendant des heures d'affilée ; d'autres ont reçu des injections d'aiguilles ; d'autres encore ont eu la chair arrachée de leurs mains et brûlée.

Numéro 5 : La reine Mary I

Mary était le seul enfant survivant d’Henri VIII et de Catherine d’Aragon. Elle a été couronnée après la mort d’Edouard VI et l’éviction de Lady Jane Grey, reine des neuf jours. Mary est connue pour avoir ramené l’Angleterre vers le catholicisme, temporairement et violemment. De nombreux protestants éminents sont morts pour leurs croyances, ce qui a valu à la reine le surnom de “Bloody Mary”. Craignant la potence, 800 autres protestants quittent le pays, et ne pourront revenir qu’après sa mort.

La Reine Mary I

Numéro 4 : Beverly Allitt

Beverly Allitt était infirmière pédiatrique. Elle est responsable du meurtre de quatre enfants et des blessures graves de cinq autres dont elle avait la garde. Elle utilisait des injections d’insuline ou de potassium pour leur provoquer un arrêt cardiaque, ou alors, elle se contentait de les asphyxier. Allit a agressé 13 enfants en 58 jours avant d’être arrêtée. Elle ne s’est jamais expliquée au sujet de ses motivations pour le crime. Néanmoins, elle était atteinte de Münchhausen par procuration, un syndrome qui pousse à maltraiter ou à blesser ceux dont on s’occupe pour attirer l’attention.

Beverly Allitt

Numéro 3 : Ilse Koch

La « Sorcière de Buchenwald » était l’épouse de Karl Koch, commandant de Buchenwald de 1937 à 1941 et de Majdanek de 1941 à 1943. Profitant du pouvoir absolu que lui avait conféré son mari, elle se délectait de la torture et de l’obscénité que subissaient les Juifs retenus prisonniers dans les camps de concentration. Koch est connue pour les tatouages ​​prélevés sur les prisonniers vivants : ces bouts de chair étaient gardés comme trophées-souvenirs. Après la chute du 3ᵉ Reich, elle est condamnée à la prison à vie. Le 1er septembre 1967, elle se pend dans la prison pour femmes d’Aichach.

Ilse Koch

Numéro 2 : Katherine Knight

Katherine Knight est la première femme australienne à connaître la prison à vie sans possibilité de libération conditionnelle. Elle a écrasé le dentier d’un ex-mari et a tranché la gorge du chiot d’un autre mari sous ses yeux. Après quoi, elle a été en couple avec John Charles Thomas Price. Kathrine Knight finira par poignarder à mort son nouveau compagnon avec un couteau de boucher. Le crime est absolument abominable, car elle l’écorche avant d’accrocher son “costume” à l’encadrement de la porte du salon. Pour finir, elle lui coupe la tête et la mit dans une marmite, et elle lui fit bouillir les fesses.

Katherine Knight

Numéro 1 : Elizabeth Báthory

D’après les témoignages recueillis auprès des familles des victimes et des témoins, des centaines de personnes ont été torturées, blessées, affamées, piquées, mordues et brûlées sous les ordres d’Elizabeth Báthory. Les rapports recueillis font état de décès dus à la famine. Une victime était morte depuis des années avant que des témoins ne la découvrent. En 20 ans, des centaines de personnes ont été maltraitées et assassinées. Certains ont été battus pendant des heures d’affilée ; d’autres ont reçu des injections d’aiguilles ; d’autres encore ont eu la chair arrachée de leurs mains et brûlée.

Elizabeth Báthory