Femme : gênée entre deux personnes en surpoids, elle exige un dédomagement

Qui aurait cru que le banal vol en avion de cette femme se transforme en cauchemar éveillé ? Pausecafein fait le point !

Par Aylan-afir Modifié le 21/10/2022 à 17:30
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En utilisant les réseaux sociaux pour régler ses comptes, cette femme ne s’attendait pas à subir un tel procès médiatique. On fait le point !

Tout bascule pour cette femme !

En choisissant de mentionner qu’elle est médecin à ses followers, Sydney Watson joue la carte de la transparence. En effet, par ce biais, cette femme indique à ses abonnés qu’elle a les compétentes pour aborder un peu près tous les dysfonctionnements de la société. Depuis la pandémie et les différents épisodes de confinement, la Toile devient un lieu d’échanges. Certes, il tout prendre au premier degré peut parfois virer au drame. Néanmoins, face à la masse d’informations mise à disposition gratuitement, on a souvent besoin de l’œil aiguisé d’un expert pour décrypter tout ça. Hélas, sa récente déclaration va secouer l’opinion !

Un échange fracassant

Alors qu’elle était en vol, cette femme tire la sonnette d’alarme. Ce n’est pas du tout la manière de piloter et encore la gentillesse des hôtesses qu’elle remet en question. En réalité, c’est son confort dans l’avion qu’elle a dans le collimateur. "Je suis actuellement — littéralement — [bloquée] entre deux personnes obèses. Ce n’est absolument PAS acceptable ni correct." S’en prenant à ses deux voisins, elle regrette fortement d’avoir partagé un bout de chemin avec eux. "Je suis coincée entre vous, avec vos bras enroulés sur mon corps, pendant 3 heures." À toutes fins utiles, elle rappelle "la rallonge de ceinture de sécurité" n’est fournie qu’en cas de surpoids.

Taguée dans son tweet, la compagnie aérienne commence par tenter de se justifier avec les moyens du bord. Par exemple, elle tient à soulager qu’elle n’est pas responsable sur les "passagers qui ont des tailles et des formes très différentes." En colère, cette femme continue de tout atomiser sur son passage. Ignorant qu’elle s’enfonce plus qu’elle ne s’en sort avec les honneurs, elle décrit son calvaire "Mon c*rps entier est actuellement touché contre ma volonté. Je ne peux même pas poser mes bras sur les accoudoirs de chaque côté." Ses nerfs finissent par lâcher et elle tacle ses détracteurs. "J’en ai marre d’agir comme si l’obésité était normale. Laissez-moi vous assurer que ce n’est pas le cas. […] Achetez deux sièges ou ne prenez pas l’avion."

Qui aura le dernier mot ?

Quelques heures après, American Airlines réalise que la notoriété de cette femme sur les réseaux sociaux peut lui causer du tort. Aussi, l’entreprise mondialement connue charge son service communication de rédiger un long courrier qui les dédouane de toute responsabilité. Au cours de ces trois pénibles heures de trajet, pourquoi n’a-t-elle pas manifesté son souhait de changer de place ? Malgré tout, elle constate que "l’agrément et le confort" de ce membre du personnel soignant aient été ainsi remis en question. Ce bon de voyage de 150 euros va-t-il suffire à apaiser sa souffrance ? Elle va demander l’avis de ses followers… sauf que les haters s’en mêlent. 

Entre ceux qui valident l’association caritative et les autres qui estiment que la somme n’est pas satisfaisante, la tension monte d’un cran. Finalement, l’un des commentaires va mettre tout le monde d’accord. Et le siège du milieu était maudit ?

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